Mercredi 24 Octobre 1917 - J’ai reçu aujourd’hui ta lettre du 21 qui m’a fait bien plaisir. J’espère ne pas avoir besoin de faire réponse à celle que tu m’écriras dimanche. Néanmoins, je serai peut-être encore là pour la recevoir mais mercredi, je saurai...
Lire la suiteArt. N° 1183 - J’aurais bien voulu que tu prennes les dispositions pour rajuster mon par-dessus quand j’arriverai.
Lundi 22 Octobre 1917 - J’ai reçu hier ta carte-lettre du 18 et ce matin ta lettre du 19 qui m’ont fait toutes deux bien plaisir. Je n’ai pas écrit hier vu qu’il n’y a pas de courrier l’après-midi. Je n’ai jamais reçu ta lettre dans laquelle tu me disais...
Lire la suiteArt. N° 1182 - Je vis dans l’espoir d’aller bientôt faire un petit tour en permission.
Samedi 20 Octobre 1917 - Je n’ai pas reçu de nouvelles aujourd’hui; ce sera probablement pour demain. Je ne connais pas grand-chose de nouveau à te marquer. J’ai toujours du travail. La journée ne paraît pas trop longue mais la nuit c’est différent. Je...
Lire la suiteArt. N° 1181 - Je m’ennuie beaucoup surtout la nuit. On a beaucoup de peine pour ne pas se coucher avant 19 heures... Je m’endors fort tard et me réveille de bonne heure.
Jeudi 18 Octobre 1917 - J’ai reçu ce matin ta carte-lettre du 15 qui m’a fait bien plaisir. Je n’aurai pas besoin d’argent d’ici que j’aille en permission. Mon camarade est parti en permission. Dorénavant, je suis le premier à partir et comme je suis...
Lire la suiteArt. N° 1180 - Avec toi, je suis tranquille. Je puis affronter les périls que je rencontrerai. Si je dois mourir dans cette guerre, je mourrai heureux en pensant à toi et à ma fille chérie. Comme je ne pense pas mourir, je ne me fais pas d’illusions à ce sujet.
Fin de la lettre du 17 Octobre 1917 - Plus tôt on est rendu, plus tôt on est content; surtout de revoir sa petite femme et d’embrasser son enfant car Raymonde a pris une grande place dans mon cœur. N’en sois pas jalouse. Mon cœur est grand. C’est toi...
Lire la suiteArt. N°1179 - J’arriverai probablement la nuit... J’aimerais mieux arriver le soir; c’est toujours une demi-nuit de moins à passer en route. Qu’il n’y ait pas d’arrêt, ce ne serait pas trop insupportable, mais c’est de poireauter dans les gares qui vous fatigue.
Suite de la lettre du 17 Octobre 1917 - Tu me demandes à quand la permission. C’est comme je t’ai dit, à moins qu’elles ne soient suspendues, ce que je ne pense pas, bien qu’il y en ait 7 qui devaient partir hier et qui sont encore là. Quand bien même...
Lire la suiteArt. N° 1178 - La marchandise va toujours en augmentant et pour remplacer celle qui est vendue, il faut y mettre à peu près le bénéfice avec, pour en avoir d’autre.
Suite de la lettre du 17 Octobre 1917 - Le plus ennuyeux, c’est que la marchandise va toujours en augmentant et pour remplacer celle qui est vendue, il faut y mettre à peu près le bénéfice avec, pour en avoir d’autre. J’ai acheté ici au mois de juin un...
Lire la suiteArt. N° 1177 - C’est étonnant qu’il ne soit pas vendu plus de journaux « Le Matin ».Il est pourtant en vogue, ici comme partout. Les principaux journaux sont « Le Matin », « Le Journal » et « Le Petit Parisien ». « Le Petit Journal », nous ne le voyons jamais.
Mercredi 17 Octobre 1917 - J’ai reçu ce matin ta lettre du 14 qui m’a fait bien plaisir. Puisque tu me parles des journaux, moi je parle du bureau de tabac. L’as-tu demandé? Tu ne m’en parles pas. Je serai bien aise de le savoir. C’est étonnant qu’il...
Lire la suiteArt. N° 1176 - D’ici à une quinzaine, j’espère faire mon apparition parmi vous.
Mardi 16 Octobre 1917 - J’ai reçu ce matin ta carte du13 qui m’a fait bien plaisir. Il y a un départ de permissionnaires aujourd’hui. Demain, je serai le premier à partir d’ici à une quinzaine. J’espère faire mon apparition parmi vous. Je ne connais pas...
Lire la suiteArt. N° 1175 - Hier dimanche, la journée m’a paru longue. Je suis allé au cinéma militaire hier soir.
Lundi 15 Octobre 1917 - J’ai reçu ta carte-lettre du 10 hier qui m’a fait bien plaisir. Je ne connais pas grand-chose à te marquer. Il a fait un temps effroyable toute la semaine dernière. Il n’a plus plu hier ni aujourd’hui ou plutôt très peu. Il serait...
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