Suite de la lettre du 29 Mars 1918 - [A propos de la photo de Raymonde que tu m'as envoyée] Les copains m’ont blagué. Tu comprends, en ouvrant nos lettres, il y en a toujours qui voient si c’est une vue quelconque ou une photo. On est toujours content...
Lire la suiteArt. N° 1320 - Dans la période que nous traversons, ça radoucit les mœurs de recevoir une charmante photographie comme ceci.
"J’avais toujours la photo où tu avais Raymonde sur les genoux" Vendredi 29 Mars 1918 - J’ai reçu ce matin ta lettre du 27 qui m’a fait bien bien plaisir. J’étais très content de recevoir la photo de Raymonde surtout dans la période que nous traversons....
Lire la suiteArt. N° 1319 - Si je rentre en bonne santé comme je l’espère, je veux après la guerre t’apporter le même bonheur... Je crois qu’après un aussi longue entrevue, nous serons heureux de nous retrouver.
Feuillet isolé non daté - Extrait 3 - Comme père de famille, si j’ai une réprimande à faire à des enfants plus tard, j’aurai le droit d’être sévère parce que j’en connais qui ont eu des bâtards et que cette jeune fille née enfant de l’amour a fait la...
Lire la suiteArt. N° 1318 - Étant soldat, je n’ai jamais mis les pieds dans une maison publique.
Feuillet isolé non daté - Extrait 2 - Si j’avais voulu, il n’y a pas beaucoup de jeunes gens à avoir eu la liberté que j’ai eue. J’ai quitté mes parents à l’âge de 16 ans. J’ai toujours été ce que tu m’as connu à St-Pierre [du Lorouër]. Étant soldat,...
Lire la suiteArt. N° 1317 - La guerre durerait-elle 10 ans, il n’y en a pas une seule [femme] capable de me faire envie, encore bien moins aujourd’hui.
Feuillet isolé non daté - Extrait 1. Comme dessert, je ne sais pas si c’est des femmes dont tu veux parler. Ne te fais pas de souci pour cela. La guerre durerait-elle 10 ans, il n’y en a pas une seule capable de me faire envie, encore bien moins aujourd’hui....
Lire la suiteArt. N° 1316 - Louis quitte Velaine sous Amance aux environs de Nancy pour gagner Hans à une cinquantaine de kilomètres à l'est de Reims.
Ce que nous apprend le JMO de l'unité de Louis. Ce qui s'est passé pendant qu'il était en permission. 14 Mars 1918 Inspection du colonel commandant le régiment. 15 Mars 1918 Fin des travaux à la position N°71 16 Mars 1918 Nettoyage du cantonnement. 17...
Lire la suiteArt. N° 1315 - L'offensive actuelle peut bien changer les affaires et j’ai de la peine à croire que les Anglais se laisseront rouler.
Fin de la lettre du 24 Mars 1918 - Celui qui était parti avec moi n’est rentré que ce matin. Il n’est pas resté plus longtemps chez lui que moi. Il n’est arrivé chez lui que le lendemain à 2 heures de l’après-midi et reparti à peu près à la même heure...
Lire la suiteArt. N° 1314 - Aujourd’hui dimanche, il m’a paru tout triste et puis je ne trouve pas la cuisine aussi bonne que la tienne.
Dimanche 24 Mars 1918 - Je ne t’ai pas écrit bien longuement hier* et peu s’en faut que je me sois couché sans écrire. J’ai fait un très bon voyage en rentrant. Seulement, je me suis appuyé 14 ou 16 kilomètres à pied. Je suis descendu du train à 3 heures...
Lire la suiteArt. N° 1313 - Souvenir du service militaire: Chant à la mémoire des naufragés du "Pluviôse". (Suite et fin).
Souvenir du camp de Calais 10 Juillet 1910 La France en deuil. Refrain Dans la mer perfide et jolie, jolie Tel un frêle jouet Le pluviôse a coulé A sombré Et dans ses flancs d’acier Des râles d’agonie. On meurt mon Dieu que la mer est jolie. 3è Couplet...
Lire la suiteArt. N° 1312 - Souvenir du service militaire: Chant à la mémoire des naufragés du "Pluviôse".
Journal "Le Matin" 27 Mai 1910 Source: Gallica. Souvenir du camp de Calais 10 Juillet 1910 La France en deuil. Musique d’Abel GAY 1er couplet La mer est belle et le sous-marin plonge Sous les flots bleus le voilà disparu. L’humanité réalise un beau songe...
Lire la suite