Fin de la lettre du 13 Octobre 1918 - Au sujet de la grippe, elle paraît faire moins de ravages maintenant. Néanmoins, il est toujours bon de prendre des précautions. Ayez donc toujours du camphre sur vous; ça chasse les mauvais airs. C’est déjà en prenant...
Lire la suiteArt. N° 1475 - A ce qu’il paraît, les Allemands acceptent toutes les conditions du Président Wilson et d’évacuer tous les pays envahis... On veut être certain avant de se réjouir.
Suite de la lettre du 13 Octobre 1918 - Ce qu’il y a de certain, c’est que chaque jour qui se passe nous apporte de bonnes nouvelles. A ce qu’il paraît, ce matin, sur l’Est Républicain, les Allemands acceptent toutes les conditions du Président Wilson...
Lire la suiteArt. N°1474 - Il y en a qui voient la fin immédiate et d’autres disent que ça peut durer encore quelques temps.
Dimanche 13 Octobre 1918 - J’ai reçu aujourd’hui ta carte-lettre du 9 qui m’a fait bien bien plaisir. Je t’écris une lettre aujourd’hui au cas où je ne pourrais pas dans la semaine. Comme je te le disais l’autre jour, il est très difficile d’écrire le...
Lire la suiteArt. N°1473 - Je crois que cette fois la fin de la guerre n’est pas très éloignée.
Samedi 12 Octobre 1918 - Je n’ai rien reçu aujourd’hui; néanmoins, je t’écris une petite carte. Je ne connais pas grand-chose de nouveau à te marquer. Les nouvelles sont de meilleures en meilleures. Je crois que cette fois la fin de la guerre n’est pas...
Lire la suiteArt. N° 1472 - Il faudra que ça se sache un jour. Aussi, je ne vois pas pourquoi tu ne donnes pas libre cours à tes malaises.
Fin de la lettre du 12 Octobre - Tu me dis que tu n’es pas libre avec les gosses1 mais , que veux-tu, il faudra que ça se sache un jour. Aussi, je ne vois pas pourquoi tu ne donnes pas libre cours à tes malaises. Tu me dis que tu vas au lait tous les...
Lire la suiteArt. N° 1471 - Je vois que tu te fatigues beaucoup... A huit heures du matin, tu as bientôt fait une demi-journée quand tes employées arrivent.
Suite de la la lettre du 12 Octobre 1918 - Je vois que tu te fatigues beaucoup. Aussitôt que le grand-père aura amené son ménage1, il faudra faire coucher Simonne2 à la maison. Il est inadmissible qu’ayant deux femmes à ton service tu sois obligée de...
Lire la suiteArt. N° 1470 - Serrés comme nous sommes dans les wagons, il n’est guère facile de s’installer pour écrire le soir.
Vendredi 11 Octobre 1918 - J’ai reçu aujourd’hui ta carte du 7 qui m’a fait bien bien plaisir. Si ça continue que nous allons au travail tous les jours, je ne pourrai plus écrire de lettres que le dimanche. On manque de moyens d’éclairage et aussi serrés...
Lire la suiteArt. N° 1469 - Je ne sais pas quoi t’écrire... Je ne connais pas grand-chose à te marquer.
Jeudi 10 Octobre 1918 - Je n’ai pas reçu de nouvelles hier ni aujourd’hui. Moi non plus, je n’ai pas écrit hier car réellement je ne sais pas quoi t’écrire. Je suis un peu enrhumé. L’autre jour, je te disais que j’avais été mouillé tous les jours et que...
Lire la suiteArt. N° 1468 - Pour la lampe électrique, voilà une saison qui n’est pas agréable. Quand il fait bien noir, surtout dans les bois, on risque de se casser les jambes ou d’attraper des entorses.
Fin de la lettre du Octobre 1918 - A propos des ceintures de flanelle, je crois que c’est ça qui me passera le plus facilement le mal de reins. Quant à la pile, j’en ferai rapporter une de Toul ou de Nancy. Je ne connais pas grand-chose à te marquer....
Lire la suiteArt. N° 1467 - Pour compléter le colis, tu mettras ma lampe électrique et pour faire le poids, des fromages de chèvre.
Suite de la lettre du 8 Octobre 1918 - Tu seras bien aimable de m’envoyer une ceinture de flanelle pour avoir le change. Si tu te rappelles, j’avais laissé les miennes l’année dernière à la maison. Une sera suffisante car trop d’effets c’est embarrassant....
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